Accueil
Envoyer
Imprimer
Agrandir
Partager
Depuis quelques jours, le mercato estival s’enflamme autour de deux dossiers brûlants au Paris Saint-Germain : Bradley Barcola, cible prioritaire du Bayern Munich, et Fabian Ruiz, convoité par les clubs saoudiens.
Pourtant, ces rumeurs semblent vouées à l’échec tant que les Qataris et notamment Nasser al-Khelaïfi, propriétaires du PSG, n’ont pas décidé d’ouvrir la porte. Un scénario que beaucoup de clubs européens et du Golfe semblent encore sous-estimer.
Barcola, symbole avec Désiré Doué de cette génération en or du côté de Paris, vient de réaliser une saison exceptionnelle avec 21 buts et 19 passes décisives toutes compétitions confondues, contribuant au sacre en Ligue des champions. Le Bayern Munich, en quête d’un ailier gauche pour compenser les incertitudes autour de Kingsley Coman et Leroy Sané, a fait de lui sa priorité. Des discussions ont visiblement eu lieu avec l’entourage du joueur, mais le PSG, conscient de la valeur de son jeune talent, a verrouillé le dossier. Sous contrat jusqu’en 2028, Barcola est jugé intransférable par la direction, qui souhaite même prolonger son bail et l'inclure pleinement dans le projet pour les prochaines saisons.
Même constat pour Fabian Ruiz. Le milieu espagnol, sous contrat jusqu’en 2027, a reçu des offres alléchantes de la part d’Al-Nassr et d’autres clubs saoudiens. Mais le PSG, dans sa nouvelle politique de gestion plus rationnelle, ne souhaite pas se séparer d’un cadre de son effectif, sauf offre totalement déraisonnable.
Et pourtant, ce mode de fonctionnement du PSG version Qatari n'est plus un secret. Depuis leur arrivée, les propriétaires parisiens ont imposé une règle simple : si le club n’est pas vendeur, il n’y a aucune négociation possible. Peu importe l’offre ou le prestige du club acheteur, les discussions sont closes avant même d’avoir commencé. Cette stratégie, héritée d’une volonté de bâtir un projet solide et de renforcer la marque PSG à l’international, a déjà fait ses preuves. Les cas Verratti, Marquinhos ou Mbappé par le passé en sont des exemples frappants.
Aujourd’hui, alors que certains observateurs évoquent un Qatar moins exigeant depuis le Mondial 2022, la réalité est que le PSG reste un club à part, protégé par une direction qui ne cède jamais sous la pression malgré des offres à plus de 100 millions d'euros. Les dossiers Bradley Barcola et Fabian Ruiz sont donc, sauf retournement de situation, morts-nés.
Pourtant, ces rumeurs semblent vouées à l’échec tant que les Qataris et notamment Nasser al-Khelaïfi, propriétaires du PSG, n’ont pas décidé d’ouvrir la porte. Un scénario que beaucoup de clubs européens et du Golfe semblent encore sous-estimer.
Barcola, symbole avec Désiré Doué de cette génération en or du côté de Paris, vient de réaliser une saison exceptionnelle avec 21 buts et 19 passes décisives toutes compétitions confondues, contribuant au sacre en Ligue des champions. Le Bayern Munich, en quête d’un ailier gauche pour compenser les incertitudes autour de Kingsley Coman et Leroy Sané, a fait de lui sa priorité. Des discussions ont visiblement eu lieu avec l’entourage du joueur, mais le PSG, conscient de la valeur de son jeune talent, a verrouillé le dossier. Sous contrat jusqu’en 2028, Barcola est jugé intransférable par la direction, qui souhaite même prolonger son bail et l'inclure pleinement dans le projet pour les prochaines saisons.
Même constat pour Fabian Ruiz. Le milieu espagnol, sous contrat jusqu’en 2027, a reçu des offres alléchantes de la part d’Al-Nassr et d’autres clubs saoudiens. Mais le PSG, dans sa nouvelle politique de gestion plus rationnelle, ne souhaite pas se séparer d’un cadre de son effectif, sauf offre totalement déraisonnable.
Et pourtant, ce mode de fonctionnement du PSG version Qatari n'est plus un secret. Depuis leur arrivée, les propriétaires parisiens ont imposé une règle simple : si le club n’est pas vendeur, il n’y a aucune négociation possible. Peu importe l’offre ou le prestige du club acheteur, les discussions sont closes avant même d’avoir commencé. Cette stratégie, héritée d’une volonté de bâtir un projet solide et de renforcer la marque PSG à l’international, a déjà fait ses preuves. Les cas Verratti, Marquinhos ou Mbappé par le passé en sont des exemples frappants.
Aujourd’hui, alors que certains observateurs évoquent un Qatar moins exigeant depuis le Mondial 2022, la réalité est que le PSG reste un club à part, protégé par une direction qui ne cède jamais sous la pression malgré des offres à plus de 100 millions d'euros. Les dossiers Bradley Barcola et Fabian Ruiz sont donc, sauf retournement de situation, morts-nés.
